Synopsis:
Qu’est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd’hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d’Or version Second Empire? L’existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s’expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l’intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers « assommoirs » – un accident de travail, l’alcool, les « autres », la faim – ont finalement raison d’elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L’Assommoir, cette « passion de Gervaise », cet étonnant chef-d’oeuvre, avec des yeux neufs.
Mon avis:
Ah… Mon premier Zola…
On m’a prise pour une folle quand, sur les marches du lycée, je lisais ce livre au nom révélateur (pour l’histoire pas le lecteur).
Des descriptions réelles, des personnages authentiques qui nous rapellent de vraies personnes.
Moi qui ai été obligé de lire des classiques pour les cours en avait été dégouté jusqu’à la découverte de ce vieux livre dans la bibliothèque familiale.
Un vieux livre pour moi qui sentait le vieux qui avait des notes sur certaines pages…
Mais une histoire qui m’a donné l’envie d’en lire d’autres…
L’Assomoir c’est tout une histoire je vous laisse la découvrir sans rien dire dessus… Mais je ne répondrais pas à la question: pourquoi l’assomoir 🙂