Synopsis :
A-t-on vraiment besoin de quatre digitales pour décorer une table pour six personnes ? Ou bien est-ce six digitales pour tuer quatre invités ? La première année d’école de Sophronia a certainement été enthousiasmante. D’abord, son pensionnat pour jeunes dames de qualité l’entraîne à devenir espionne (Maman sera si surprise !). Ensuite, elle est mêlée à une intrigue à propos d’un appareil volé et on lui jette une tourte au fromage dessus. Aujourd’hui, Sophronia connaît chaque recoin de l’école, laisse traîner son oreille dans les quartiers des enseignants et monte clandestinement à la chaufferie du dirigeable où elle apprend qu’un simple voyage scolaire à Londres peut cacher davantage que ce qu’elle croit… Vampires, loups-garous et humains sont tous après le prototype récupéré par Sophronia dans Étiquette & Espionnage, qui a le potentiel d’améliorer le transport aérien surnaturel. Sophronia doit découvrir qui est derrière un dangereux complot pour contrôler le prototype… et survivre à la saison de Londres munie d’un carnet de bal complet.
Mon avis :
Quoi de mieux pour se relancer dans la lecture que de lire un Gail Carriger. Avec cette auteure, je suis certaine de dévorer le livre et de passer un bon moment dans un univers agréable !
J’ai aimé / j’ai adoré :
– retrouver Sophronia et sa bande de copine, même si… le reste des filles m’a paru éloigné mais pour en connaitre la raison est dans le livre et évidemment cette polissonne de Vieve
– voir Sophronia flirter. Que ce soit avec Savon (même si elle n’y croit pas) ou Lord Mersey (où là clairement c’est du flirt très flirt et c’est encouragé ! )
– retrouver un peu le Londres d’Alexia Tarrabotti mais 25 ans avant 😛
– croiser des personnages que j’adoooooore (ralalala Lord Akeldama ❤ )
– l’univers ! Evidemment, j’adore me retrouver dans ce Londres (et ses larges environs) mais aussi m’imaginer les magnifiques tenues que les filles portent
Je n’ai pas aimé / J’ai détesté
–
Je regrette :
–
En conclusion,
Un second tome bien distrayant où les relations et les connaissance de Sophronia s’étendent pour notre plus grand plaisir.
Même si la série est bien plus jeunesse que celle du Protectorat de l’Ombrelle, j’adore sourire et glousser comme une jeune fille en fleur sur certaines scènes
J’ai aussi lu ce tome-là, mais je suis moins séduite que toi sur cette série : je préférais celle d’Alexia 😉
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la série d’Alexia reste ma préférée mais le Pensionnat est super léger à lire (mais beaucoup plus jeunesse), c’est selon moi la lecture parfaite en cas de coup de mou ^^
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C’est donc à garder en tête malgré tout 😉
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Faudra que je continue cette série (mais j’avoue que le tome 1 ne m’a qu’à moitié convaincue…)
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