Synopsis:
Tout commence à l’internat de Neuseleen (Bavière) où Benjamin vient redoubler sa quatrième. Énième école, en raison d’une scolarité plus que chaotique due, sans doute, à sa partielle hémiplégie du côté gauche, qui le rend inapte aux mouvements de motricité fine (tels que beurrer une tartine, allumer une cigarette ou… tracer une figure géométrique correcte) et lui cause un léger boitement et une douleur quasiment constante à la jambe gauche. Énième école mais premier internat, donc première rupture avec ses parents et sa sœur lesbienne dont il est plus proche que de n’importe quel ami. Benjamin, sûr d’échouer là comme ailleurs, voit la vie en très noir. Pourtant, il s’intègre vite à une bande de cinq garçons (« Une bande du tonnerre : un gros, un estropié, un muet, un crétin. Exactement le genre de mecs à faire craquer les nanas, non ? »), tous un peu bizarres – pardon, crazy, comme les définit Janosch, leur chef de file. Qu’entendent-ils par « crazy » ? Cinglés, souvent. Avides de vivre, surtout, comme on l’est à cet âge, à la fois habités de fureur de vivre et effrayés de devoir quitter les rives de l’enfance. Leur souci, ce n’est pas de réussir leur quatrième, c’est de comprendre pourquoi ils vivent et comment ils vont vivre. À peu près toutes les initiations y passent : la première cuite, la première fille, la première fugue, les épreuves qu’on s’impose pour épater les copains et se faire accepter de la bande, les vrais serments d’amitié…
Mon avis:
Alors ce livre, je l’ai lu dans sa langue d’origine : L’allemand.
Il s’agit de l’histoire d’un ado en difficulté (il a changé 5fois d’école) qui se retrouve dans un internat…
Il va rapidement s’intégrer dans ce lycée strict en se faisant une bande de copains avec qui, il va enfreindre le réglement et c’est aussi dans ce lycée qu’il va connaitre ses premiers émois…
En lisant ce livre en allemand, je pensais au début avoir du mal à tout comprendre mais au final, il a été assez simple à comprendre sauf le langage assez cru lorsqu’il décrit sa première fois -_- ou lorsqu’il emploie des mots du langage courant que je ne connaissais pas (pour ça merci le dictionnaire français allemand).
Bref un petit livre hautement autobiographique mais très sympatique à lire.
Bonne Lecture